CTM - Plateau-Roy – 04/04/2024 : Interpellation du Président du Conseil exécutif par Louis Boutrin lors des questions au PCE. Le Conseil territorial du Gran Sanblé a plaidé pour une aide d’urgence en faveur de la petite paysannerie et les petites exploitations actuellement en grande souffrance. Face à cet inexorable déclin et au risque d’une réelle disparition, Boutrin propose une triple réforme, foncière, de la politique d’irrigation et des outils financiers. Des propositions qui ont trouvé un écho auprès du PCE qui accueille favorablement le principe d’une Conférence des différents acteurs pour sauvegarder une agriculture durable et nourricière.
Samedi 9 mars 2024 – Fougainville – Rivière-Pilote. Manifestation de solidarité avec l’agriculture paysanne organisée par Martinique-Écologie et l’AKAM (Association Ka Manniok Matinik), une association de petits agriculteurs et d’exploitants agricoles de Rivière-Pilote, cette première édition du Bokantaj Ékoloji Agrikilti Péyizann a tenu toutes ses promesses. Un concept conçu par écologistes et agriculteurs qui ont eu à cœur de s’unir pacifiquement autour de trois évènements sur le lieu symbolique de la SICA (Société d’intérêt collectif agricole) de Fougainville.
Les Anses-d’Arlet – Martinique - Samedi 24 fév. 2024. Invité par les chercheurs du CNRS et Damien Chevallier, directeur du programme de recherche scientifique, Louis Boutrin, Conseiller territorial et Pdt de Martinique-Écologie, a participé à une séquence dudit programme visant à la préservation des tortues marines menacées sous nos latitudes par les impacts de facteurs environnementaux.
CTM – Plénière du 1er fév. 2024. Adoption d’une délibération relative à un projet de Loi constitutionnelle visant à la co-officialisation de la langue créole et de la langue française en Martinique. Au cours des débats, le Conseiller territorial Louis Boutrin a présenté un amendement en faveur d’une proposition de Loi constitutionnelle afin de consolider la démarche initiée par la majorité de l’Assemblée de Martinique et de porter la question de l’officialisation de notre langue au sein même du Parlement français. Une double initiative qui, sans aucun doute, trouvera un écho favorable auprès des autres députés des Territoires situés en Outre-Mer mais aussi des Corses, Bretons, Occitans, Basques, Alsaciens et qui permettra de relancer le débat sur la ratification par la France de la Charte européenne des langues régionales.